Fébrilité et trac du départ
Saguenay, Jonquière
OUF ! La course aux derniers préparatifs est terminée. Il est 23 heures et je peux enfin relaxer.
Les 3 ou 4 derniers jours ont été occupés à rencontrer les amis et la famille et à les saluer une dernière fois avant mon départ, à participer aux dernières rencontres du département et à préparer mon bureau pour Manon qui me remplacera à la prochaine session, à magasiner pour trouver les vêtements qui me manquaient, et enfin finaliser la mise en ordre de mes bagages dans mon sac à dos, car, même avec l’expérience que j’ai, il m’a encore fallu faire et refaire cette mise en ordre.
De plus, comme à tous mes autres voyages, cette finale des préparatifs a été accompagnée de ce que j’appelle le trac du départ, c’est-à-dire une certaine anxiété face à ce qui s’en vient : ai-je fait les bons choix, est-ce que j’ai tout ce qu’il me faut, ai-je oublié quelque chose d’essentiel malgré toutes les listes des « à faire », des « ne pas oublier » que je me suis faites depuis deux mois, etc.
Mais, habituellement, c’est en mettant les pieds dans l’aéroport que ce trac disparaît. J’aime bien les aéroports.
Voir tous ces gens, qui, comme moi, se préparent fébrilement à quitter le sol canadien pour une autre partie du monde, fait disparaître peu à peu le stress qui m’habitait. C’est pourquoi j’arrive bien avant l’heure du départ pour enregistrer mes bagages le plus tôt possible, et ainsi pouvoir, durant une heure ou deux, flâner, observer ces autres voyageurs autour de moi, ou simplement relire le chapitre de mon guide sur ma destination d’arrivée, en sirotant un bon café.
C’est à ce moment seulement que le voyage commence vraiment, ou du moins que je me sens en voyage!
Et c’est alors que je me souhaite le plus beau des voyages.
OUF ! La course aux derniers préparatifs est terminée. Il est 23 heures et je peux enfin relaxer.
Les 3 ou 4 derniers jours ont été occupés à rencontrer les amis et la famille et à les saluer une dernière fois avant mon départ, à participer aux dernières rencontres du département et à préparer mon bureau pour Manon qui me remplacera à la prochaine session, à magasiner pour trouver les vêtements qui me manquaient, et enfin finaliser la mise en ordre de mes bagages dans mon sac à dos, car, même avec l’expérience que j’ai, il m’a encore fallu faire et refaire cette mise en ordre.
De plus, comme à tous mes autres voyages, cette finale des préparatifs a été accompagnée de ce que j’appelle le trac du départ, c’est-à-dire une certaine anxiété face à ce qui s’en vient : ai-je fait les bons choix, est-ce que j’ai tout ce qu’il me faut, ai-je oublié quelque chose d’essentiel malgré toutes les listes des « à faire », des « ne pas oublier » que je me suis faites depuis deux mois, etc.
Mais, habituellement, c’est en mettant les pieds dans l’aéroport que ce trac disparaît. J’aime bien les aéroports.
Voir tous ces gens, qui, comme moi, se préparent fébrilement à quitter le sol canadien pour une autre partie du monde, fait disparaître peu à peu le stress qui m’habitait. C’est pourquoi j’arrive bien avant l’heure du départ pour enregistrer mes bagages le plus tôt possible, et ainsi pouvoir, durant une heure ou deux, flâner, observer ces autres voyageurs autour de moi, ou simplement relire le chapitre de mon guide sur ma destination d’arrivée, en sirotant un bon café.
C’est à ce moment seulement que le voyage commence vraiment, ou du moins que je me sens en voyage!
Et c’est alors que je me souhaite le plus beau des voyages.